jeudi 27 février 2014
dimanche 23 février 2014
Ducasse annulée, la fausse information !
Il n'a jamais été question d'annuler la ducasse cette année. Mais la fermeture de la rue Roger Salengro et la déviation par la rue Carnot et Liberté rend toute installation de manèges impossible sur cet axe très passant.
Installer les manèges rue de la Liberté dans ces conditions serait irresponsable.
C'est pourquoi, nous avons depuis quinze jours maintenant proposé une installation "Place de la République" et plus récemment une seconde possibilité sur le terrain en schiste du stade André Claeys.
Ces deux solutions permettent une installation de la ducasse dans des conditions de sécurité acceptables et sans compromettre une circulation déjà difficile.
Installer les manèges rue de la Liberté dans ces conditions serait irresponsable.
C'est pourquoi, nous avons depuis quinze jours maintenant proposé une installation "Place de la République" et plus récemment une seconde possibilité sur le terrain en schiste du stade André Claeys.
Ces deux solutions permettent une installation de la ducasse dans des conditions de sécurité acceptables et sans compromettre une circulation déjà difficile.
Les
forains, pour le moment, refusent ces deux propositions.
Etre un élu responsable impose parfois de prendre des décisions pas toujours bien comprises de tous mais qui s'appuient sur des éléments factuels de sécurité et de bon-sens.
Ce matin, la Voix du Nord a édité un article qui relate les faits
«Touche pas à notre ducasse!», les forains en colère contre la délocalisation de la fête
PUBLIÉ LE 22/02/2014
Par CATHERINE QUÉTELARD
Les forains en colère ont manifesté devant la mairie, samedi matin, contre la délocalisation de la ducasse cette année, à cause des déviations dues aux travaux d’aménagement de la rue Salengro. Ils ont rencontré les élus dont le maire, Jean-François Legrand, et pris rendez-vous pour jeudi ou vendredi. Dans l’espoir de trouver une solution pour que cette ducasse, présente depuis 1963 (« du temps de Dédé Fournel », rappelle une foraine qui a replié son manège depuis), s’installe du 19 mars au 3 avril.

Ducasse rime avec Bourg : depuis des lustres donc les forains s’installent à cette époque de l’année rue de la Liberté, du contrôle technique jusqu’à la rue Faidherbe, bloquant ainsi une petite partie de la grand-rue d’Houplines et une déviation permet de contourner par la rue Thiers.
Cette année, les travaux d’aménagement, décidés par LMCU, de la rue Salengro (la rue du collège), attendus depuis deux ans, ont enfin démarré en janvier. La rue est en sens unique à partir de la rue de la Liberté et doit même être interdite à la circulation quelques jours (on ne sait pas encore lesquels).
La mairie a donc proposé aux forains deux solutions de repli : la place de la République ou le terrain en schiste au stade. M. Leleu et ses camarades forains (huit manèges et une quinzaine de stands) ne veulent pas en entendre parler : « on ne peut faire entrer les camions avec les nouveaux aménagements, place de la République ». Et côté stade, « il n’y pas de branchements électriques ». La mairie réfute ces arguments. Mais se donne jusque jeudi pour vérifier que les branchements électriques de la salle Claeys sont suffisants au stade. Les élus pensent que les forains estiment qu’ils auront moins de monde dans ces lieux. Les forains souhaiteraient pour leur part s’installer rue Brune (entre le lotissement des Peintres et Saint-Exupéry). Pas question pour le maire : cette rue est la seule avec la rue Saint-Exupéry pour permettre aux automobilistes de sortir de la commune, en l’absence de desserte par la rue Salengro (7 000 véhicules par jour comme la rue Carnot). « Le flux venant de la rue Victor-Hugo atteint jusqu’à 15 000 véhicules par jour et on va les envoyer dans ce petit lacet de rues avec le groupe scolaire Musy ! », s’indigne le maire.
« J’ai passé toute mon enfance dans les petites voitures des manèges », reconnaît le maire qui a du mal à comprendre la colère des forains, rejoints par quelques jeunes d’Houplines et de Deûlémont et même des anciens, habitués à se retrouver dans cette ducasse. Ludivine, Houplinoise et foraine, venue en famille avec sa maman, Marie, et sa grand-mère, a créé une page facebook (ducasse houplines bourg annulée). Espérons qu’un accord soit trouvé dans la semaine pour sauvegarder l’emploi des forains et le plaisir des Houplinois attachés à ce loisir populaire et bon enfant.
samedi 22 février 2014
La Voix du Nord du 21 février
Jean-François Legrand mènera la liste Houplines notre passion commune
PUBLIÉ LE 21/02/2014
Par DELPHINE TONNERRE
C'est sa troisième campagne, mais la première comme tête de liste. Jean-François Legrand, le maire actuel, a d’abord été élu, puis directeur du cabinet du maire précédent, Jacques Deruyter. À 46 ans, il mène une liste renouvelée d’un tiers, unie et motivée. « Houplines notre passion commune » veut poursuivre le travail pendant le mandat suivant, qui verra la commune effectuer des mutations importantes. Rencontre avec un candidat déterminé.

Dans un document de douze pages, distribué ce week-end par les colistiers et soutiens de la liste « Houplines passion commune » dans les foyers, on peut trouver à la fois la composition de l’équipe, le bilan de ce mandat et les perspectives pour le suivant. Un document dense, complet, travaillé, dans lequel il y a de quoi lire en quatre thèmes : la solidarité, les grands chantiers (sous le chapitre mutations), le dynamisme économique et les actions sportives et culturelles. Un document que Jean-François Legrand estime à la mesure des enjeux.
On rentre effectivement dans le détail. Mais, « ça doit être le côté pédagogique car je suis enseignant », sourit-il, il présente de manière synthétique et chronologique ce qui a été fait, puis détaille les dix engagements pour Houplines (dont le premier est de ne pas augmenter les impôts pendant les six prochaines années).
Lui-même n’est pas carté, et la liste ne revendique aucune étiquette politique. « Nous sommes indépendants. Ce qui compte, c’est Houplines, ça a toujours été notre philosophie. Il n’y a jamais eu de ma part ou de celle de mon prédécesseur d’engagement national ou de consigne de vote. » Jean-François Legrand précise que le nom de la liste n’a pas été choisi au hasard, « on indique clairement avec Houplines notre passion commune que nous siégerons, si nous sommes élus, à la communauté urbaine, au sein du groupe Métropole passions communes ».
Une liste renouvelée d’un tiers
La liste est renouvelée d’un tiers et s’est composée « naturellement, sans heurts, dans la discussion ». L’une des satisfactions de Jean-François Legrand, maire depuis 2012 dans la continuité de Jaques Deruyter, c’est d’avoir réussi à garder autour de lui, une équipe soudée, qui n’a pas éclaté tout en imposant sa marque, sa propre identité à la gestion de la commune. « C’est dans cette optique que j’ai créé un comité de soutien, qui compte deux cents personnes », dit-il.
Pas de difficulté donc pour intégrer dix nouveaux colistiers, « des personnes qui m’ont contacté », et composer sa liste, « sans précipitation ». La moyenne d’âge des colistiers est de 53 ans, la plus jeune est une étudiante de 22 ans, le plus âgé a 74 ans. « Je ne fais pas de jeunisme. La moyenne d’âge est plus élevée que mon âge et ça ne me dérange aucunement. Ces personnes nous apportent leur expérience et ont encore beaucoup de choses à nous apporter », explique-t-il.
Quant à la campagne il note qu’elle est « correcte, sans attaque personnelle », même si le scrutin s’annonce serré avec son opposant, le socialiste Thierry Fontaine (à qui il avait manqué dix-huit voix en 2008 pour gagner).
Jean-François Legrand se décrit comme « d’un naturel un peu réservé, je ne suis pas du style à pousser les portes, mais les Houplinois savent que je suis sept jours sur sept présent, accessible, disponible et j’espère qu’ils sauront reconnaître le travail de fond qui est mené. » Réservé sans doute, mais déterminé, assurément, il pense que « les gens ne sont pas dupes, il est inutile d’en faire exagérément plus à un mois des élections. Ce serait de l’esbroufe. Houplines se transforme. Le mandat suivant sera celui des réalisations engagées ces dernières années, et oui, clairement, je souhaite poursuivre les dossiers que j’ai portés, avec cette équipe renouvelée. »
Certes, il sait que les finances publiques sont plus serrées, mais « ça force à être inventif, à revenir au bon sens ».
samedi 15 février 2014
La Friche Vanderschooten... suite !
Vous avez suivi par voie de presse interposée les différents échanges que j'ai eus avec Lille Métropole Communauté Urbaine et l'Etablissement Public Foncier afin d'activer dans les meilleurs délais, l'acquisition et la démolition du site.
Elu Maire le 31 octobre 2012, j'ai repris ce dossier et dès le 19 février (puis en juin et en juillet 2013) j'ai effectué les démarches auprès des services communautaires afin d'activer l'acquisition tant attendue.
Après une année d'attente et un "coup de pouce" de la presse, le 1er Vice-Président René Vandierendonck a donné son accord pour entamer les négociations de rachat du site par l'Etablissement Public Foncier.
Article de la Voix du Nord du jeudi 13 février
par Gilles Contraire
samedi 8 février 2014
Découvrez la liste "Houplines, notre Passion Commune"
Je suis
heureux de vous présenter la liste que j’aurai l’honneur de conduire le 23
mars prochain.
Renouvelée au tiers, cette liste se veut dynamique, indépendante, compétente, disponible et représentative de nos quartiers.
Chaque colistier est d'ores et déjà à votre disposition et à votre écoute.
Découvrez la liste complète et les profils de chacun dans l'onglet "l'Equipe"
jeudi 6 février 2014
Le Bien-Vivre !
La sécurité des biens et
des personnes est une compétence de l’Etat. Pourtant le maire assure un rôle de
pivot et de coordination en la matière.
« Bien vivre sa ville
» c’est commencer par créer les meilleures conditions d’un bon voisinage. Une
bonne entente, un respect de chaque instant. Des relations fondées sur la
franchise et la considération.
Cela impose à chacun
d’entre nous de faire un effort. Éviter l’isolement et éviter l’individualisme,
tout en respectant le mode de vie de chacun.
« Vivre sa ville »
c’est vivre en communauté. Les affinités se « nourrissent », notamment, de liens que
l’on tisse autour de soi par les relations de « bon voisinage »…Et comme les
quartiers sont très proches, par l’intermédiaire des enfants, à l’école, dans les
associations,… les relations se multiplient. C’est ainsi que notre commune peut
se vivre comme un « grand village », marqué d’évènements et de rassemblements
festifs, conviviaux…
- Nous proposerons la création de Comités de Quartier
« Vivre sa
ville » c’est avant tout, respecter les règles de vie commune.
C’est respecter la loi comme, par
exemple le Code de la Route. C’est respecter la tranquillité des autres, en un mot,
tout ce qui fait que chacun vit bien sa ville.Nous proposerons de réfléchir ensemble sur une démarche commune de bien vivre ensemble sur les thématiques suivantes :
- « Ma Ville, je l'aime accessible »
- « Ma Ville, je l'aime propre »
Le Bien Vivre
ensemble c’est également la sécurité de tous. Elle fait bien partie de nos
préoccupations.
La commune n'etant pas en zone "Gendarmerie" elle ne peut bénéficier du dispositif "Voisins Vigilants". Nous avons donc engagé avec le commissariat
d'Armentières un travail d’échanges et de coordination pour l’ensemble des
incivilités et délits. Par exemple, lors de la vague de cambriolage dont
le lotissement Saint-Exupéry a été victime, nous avons demandé au Commissaire
et obtenu un plan local de lutte contre les cambriolages. Cette mesure intègre
des patrouilles plus importantes mais également une présence renforcée en
véhicules banalisés pour garantir la discrétion.
Nous avons aussi mis en place le « Rappel à
l'ordre » en lien direct avec le Procureur de la République de Lille dans
le cadre de procédure de prévention de la délinquance.
- « Ma Ville, je l'aime calme »
- « Ma Ville, je l'aime sereine »
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